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Presse Tout ce que je possède (L'objet de mon attention I) 

"(...) La Cie What's up ( Is there life on Mars ? ) a scénographié une espèce de petit musée à visiter en 15 minutes. L'Objet de mon attention est le 1er volet d'une trilogie centrée sur la possession et la dépossession. On parcourt cette installation performative à travers diverses manières d'être en rapport aux objets : fonction, souvenir, désir, accumulation, dépouillement… Un travail à la fois ludique et profond, d'une grande finesse, à même de parler à chacun. On attend la suite !"
Marie Baudet, La Libre Belgique

(...) Poésie performative enfin, avec l'émouvant " L'objet de mon attention I Tout ce que je possède ", premier volet d'une trilogie sur notre rapport aux objets. Dans le petit studio son du National un savant bric-à-brac nous propose une plongée sur l'objet qui fait rêver par sa beauté, l'obsession qu'il révèle (ex.la collection de porte-clefs japonais représentant de la nourriture !), le souvenir dont on ne parvient pas à se débarrasser et qui vous envahit. Comme cette soupière revêtue d'insignes hitlériens laissée par l'occupant et qu'on ne parvient pas à éliminer. Des notices courtes et limpides situent les objets. Un très beau travail avec même une " maternité " vivante. Le " petit truc " qui restera pour moi, comme la " découverte " que cherche le curieux dans tout (mini)-festival."
Christian Jade, RTBF

"Autre petite perle du XS Festival, l'installation performative « L'objet de mon attention I : tout ce que je possède » réalisée par la Compagnie What's Up explore nos rapports à l'objet. Entre une accumulatrice compulsive, voire maladive, et cet homme qui décide un jour de se débarrasser de tous ses avoirs à l'exception des 40 objets (vêtements compris) qui tiennent dans son sac, il y a une myriade de comportements liés à la possession, que ce soit la collection de porte-clés (la copocléphilie) ou le simple fait de vouloir emporter ce plaid défraîchi en maison de repos. La visite du musée raconte autant d'histoires, souvent très touchantes, toujours témoins d'un vécu lié à l'objet. En fin parcours, le spectateur est également invité à succomber au virus de la possession en passant par le giftshop." 
Didier Béclard, Demandez le programme

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